Il a comparu cet après-midi au palais de justice de Sorel-Tracy à trois chefs d’accusation. Entre le 28 octobre 2016 et le 15 février 2017, il aurait, par un moyen de télécommunication, incité des filles mineures à se toucher sexuellement. Il aurait aussi produit de la pornographie juvénile.
Selon les chefs d’accusation, il aurait communiqué avec un enquêteur par le biais d’un site Internet malavisé.
La procureure de la Couronne, Marie-Josée Bergeron, ne s’est pas opposée à sa remise en liberté. Son dossier revient devant la Cour le 27 mars.