« On va continuer les discussions pour trouver un consensus. Nous avons eu des discussions informelles avec le Bloc québécois. Il n’y a rien eu d’officiel. J’ai bon espoir qu’on aboutira à quelque chose d’intéressant », a-t-il commenté.
Rien ne presse, assure-t-il. « On laisse les élections provinciales se dérouler. On ne veut pas entendre parler du Bloc pendant ces élections. Après cela, on aura sûrement abouti à quelque chose », croit-il.
Il avait mentionné que le congrès du parti politique, qui s’est déroulé le 18 août, représentait « un pas dans la bonne direction ». « La restructuration permet de faire un bon ménage et de revenir aux principes de base du Bloc québécois. Le bureau national est plus représentatif du départ de l’ancienne chef Martine Ouellet. C’est une bonne chose. Il y a certainement une place au dialogue. »
À la suite du congrès, le député Mario Beaulieu demeure chef intérimaire du parti politique, mais cède son poste de président à Yves Perron, qui a été parmi les détracteurs de l’ex-chef Martine Ouellet. Gilbert Paquette, qui a soutenu Mme Ouellet, conserve son poste de vice-président.