« La CS n’est pas en mesure d’offrir une école. On propose plutôt d’offrir un volet dans une école qui existe déjà avec tout le mécanisme d’un conseil d’établissement. C’est la différence entre ce qu’on nous demande et ce qu’on est prêt à leur offrir », affirme la responsable des communications, Geneviève Handfield.
La CS ne souhaite également pas assumer les coûts de transport reliés à l’inscription d’un élève à l’extérieur du secteur touché par une école donnée. Elle traitera le tout comme si les parents demandent un changement d’école. Les parents doivent assumer les coûts liés au transport pour se rendre dans la classe alternative.
Ces conditions répondent à la demande du comité d’appuyer formellement le projet lors du conseil des commissaires en octobre.
Actuellement, toutes les écoles en milieu urbain sont pleines. La CS dépose d’ailleurs une troisième demande pour obtenir le financement qui servira à la mise aux normes et à l’agrandissement de l’école Saint-Viateur.
C’est le principal point qui sera discuté lors d’une rencontre cette semaine entre le comité et la CS. Le comité n’a pas encore statué sur l’endroit possible d’une école alternative.
« On va aller chercher les informations sur la réflexion qui a mené à cette prise de position de la part de la CS. En comité, on va analyser le tout pour voir la suite des choses. On attend de comprendre la position de la CS pour prendre une décision », souligne l’une des membres fondatrices du projet, Julie Collette.