« Même si l’horaire n’était pas complété à 100 %, on voulait commencer jeudi [le 25 juin] parce que les joueurs avaient hâte de jouer des parties », explique le coorganisateur de la ligue, Pier-Olivier Blain.
Les dernières inscriptions ont été effectuées le même jour, puis quelques heures plus tard, les joueurs foulaient déjà un des deux terrains derrière le Bar 525. Même si le nombre d’inscriptions est un peu plus faible que les années précédentes en raison de la pandémie, Dek Hockey Sorel-Tracy fonctionne presque à plein régime.
Cet été, malgré les quelques semaines perdues, il se jouera 18 matchs par équipe en plus des séries éliminatoires. Il s’agit du même nombre de rencontres que l’an dernier.
« Il n’y aura pas de saison d’automne et la saison actuelle se terminera un peu plus tard. Ça nous a permis d’avoir le même nombre de parties pour le même nombre de semaines que l’an dernier et de ne pas condenser les parties pour avoir un été trop chargé », souligne M. Blain.
Il se jouera donc du Dek Hockey sept jours par semaine. Du lundi au vendredi, à compter de 18 h 30, on aura droit à quatre parties d’une heure sur chacune des deux surfaces. Les samedis et dimanches, ce sera au tour de la ligue junior de prendre place. Il y aura aussi, de 17 h 30 à 18 h 30 les soirs de semaine, des pratiques de perfectionnement technique pour les juniors.
Mesures sanitaires
Des mesures sanitaires seront mises en place, comme des bouteilles de Purell à l’entrée du terrain. Les douches ne seront pas fonctionnelles cet été. Pour le reste, ce sera pratiquement comme à l’habitude.
« On va essayer de respecter la distanciation physique dans la mesure du possible sur le banc des joueurs, mais aucune règle officielle n’a été instaurée par le gouvernement pour notre sport. On va faire attention, c’est sûr, mais on n’a pas de contrainte particulière. Les contacts accidentels peuvent survenir, il faudra juste être conscient un peu plus de la réalité actuelle. Par exemple, s’il y a une bataille dans le coin pour récupérer la balle, il se peut que l’arbitre siffle plus rapidement pour arrêter le jeu », conclut Pier-Olivier Blain.