Depuis le samedi 25 septembre, il estime que près de la moitié des 44 pancartes que son équipe et lui avaient installées ont été retirées.
En fait, dès le lendemain de l’installation, il affirme que six pancartes avaient déjà été enlevées. Depuis, son équipe a constaté que plusieurs autres avaient été retirés les jours suivants. « À ce rythme-là, il ne m’en restera plus dans une semaine », craint-il.
« On se donne pour la cause, un moment donné… », laisse-t-il tomber, exaspéré par la situation.