Depuis le début de la campagne électorale, Gabriel Arpin reçoit beaucoup d’appuis de gens heureux de voir un candidat relativement jeune représenter le PQ dans Richelieu, une circonscription qui a élu des péquistes de 1994 à 2018.
« C’est le fun. Ça démontre que les gens aiment voir des jeunes s’impliquer dans le PQ. Ça promeut le futur de l’indépendance et ça démontre que ce n’est pas seulement un projet du passé », croit le candidat.
Ce dernier mentionne que le PQ aborde les élections provinciales avec une approche plus progressiste. « Il y a beaucoup de projets pour l’égalité des chances au niveau économique, il y a une politique par rapport à l’inflation et tu vois qu’il y a un désir d’aider les gens de la classe moyenne et plus pauvre à s’en sortir », indique le jeune homme de 28 ans qui est fraichement diplômé en anthropologie et en relations internationales.
Parmi les enjeux qui l’intéressent plus particulièrement, Gabriel Arpin souligne les changements climatiques. « Je suis fier de la plateforme du PQ quant à l’environnement. Ici, il y a évidemment l’enjeu de la qualité de l’air. Je suis dans l’optique de trouver des solutions pour la sécurité des Sorelois », explique-t-il.
Aussi, il veut favoriser l’émancipation économique des entreprises locales, pallier la pénurie de logements et aider les agriculteurs de la région avec les nombreux enjeux qui les encombrent.
« En ce moment, le Québec doit prendre de grosses décisions à savoir où il veut aller. On est actuellement à un point tournant pour le Québec », affirme M. Arpin.
Promouvoir le message de son parti
Durant la campagne, Gabriel Arpin se réjouit d’être souvent accompagné par le député de Bécancour-Nicolet-Saurel, Louis Plamondon, dans plusieurs événements. « C’est une bonne personne à avoir à ses côtés, admet le péquiste. Il agit avec moi comme un mentor et il m’aide à porter mes messages. »
Par ailleurs, de son propre aveu, le climat politique actuel est « assez lourd au provincial ». Malgré cela, il constate que les gens sont réceptifs aux idées du PQ. « Les gens sont super enthousiasmés, assure-t-il. D’ici le scrutin, je vais poursuivre les rencontres à travers la circonscription. »
