13 Décembre 2022 - 08:42
Rencontre déterminante avec les villes partenaires
Le Service animalier Pierre-De Saurel souhaite se trouver un nouveau toit rapidement
Par: Alexandre Brouillard

Le Service animalier Pierre-De Saurel (SAS) quittera son local du 57, rue George, à Sorel-Tracy, le 14 décembre. Photothèque | Les 2 Rives ©

Le Service animalier Pierre-De Saurel (SAS) et les maires des quatre villes partenaires se sont rencontrés le 12 décembre, à l’hôtel de ville de Sorel-Tracy, pour trouver un toit à l’organisme qui se retrouvera sans local le 14 décembre.

C’est la directrice générale du SAS, Karine Benisti, qui a informé notre journaliste de cette rencontre. Cette dernière a confié avoir beaucoup d’attentes quant à sa rencontre avec Patrick Péloquin (Sorel-Tracy), Vincent Deguise (Saint-Joseph-de-Sorel), Alain Chapdelaine (Saint-Roch-de-Richelieu) et Michel Péloquin (Sainte-Anne-de-Sorel). Les conclusions de cette rencontre n’étaient toutefois pas connues avant d’aller sous presse.

Rappelons que le SAS occupe temporairement depuis janvier 2022, et ce jusqu’au 14 décembre, un local appartenant à l’homme d’affaires Jean Cournoyer au 57, rue George, au centre-ville de Sorel-Tracy.

À la fin de 2022, l’organisme devait déménager ses pénates dans un nouveau local construit spécifiquement par M. Cournoyer sur la route Marie-Victorin. Les deux partis avaient une entente verbale. Toutefois, à la fin novembre, le journal Les 2 Rives avait révélé que l’entente était devenue caduque, alors qu’un montant de 500 $ par mois séparait les deux partis dans les négociations.

Karine Benisti assure n’avoir eu aucun contact avec Jean Cournoyer depuis sa dernière offre qui était de 4000 $ par mois pour les deux premières années du bail (11 $ du pied carré) et 5500 $ par mois pour les huit années suivantes.

Par ailleurs, la directrice générale n’a pas voulu confirmer si la rencontre entre le SAS et un entrepreneur de la région le 28 novembre avait été concluante. Elle précise néanmoins être prête à quitter le local pour le 14 décembre. « J’espère trouver une solution pour les animaux et les citoyens », admet Karine Benisti.

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