L’installation des caméras était prévue cette année au programme triennal d’immobilisations (PTI) 2022-2023-2024. « C’est une décision qui a été prise pour protéger les infrastructures de la ville, notamment à la suite d’actes de vandalisme perpétrés au cours des dernières années dans le secteur du centre culturel », explique Maude Péloquin, cheffe de division du Bureau de la consultation publique.
Rappelons que de nombreux actes de vandalisme, dont des graffitis et des objets brisés, avaient été perpétrés à l’été 2021 aux parcs Dorimène-Desjardins, des Roitelets, Réal-Lemieux et Monseigneur-Nadeau ainsi qu’à la Maison des gouverneurs. Puis, en 2023, il y a eu la vague d’autocollants posés sur différents bâtiments municipaux et les vols de matériels au stade René-St-Germain.
Les 17 caméras sont réparties entre l’hôtel de ville, le centre culturel, le site du futur complexe aquatique et le terrain synthétique. Une caméra a aussi été remplacée au bâtiment des travaux publics.
« Conformément à la politique et au règlement de gestion contractuelle, une demande de prix a été réalisée pour ce projet. Il a été octroyé à Espace Branché, une entreprise locale », informe Mme Péloquin.