Celui qui est aussi représentant des ventes chez Ford Sorel-Tracy disputait deux courses pour le championnat. Le samedi, il n’avait pu terminer le parcours en raison d’un bris sur sa voiture survenu lorsqu’il a tenté de dépasser un véhicule. L’équipe a donc dû travailler très fort pour remettre le bolide en état pour la course du dimanche, où il a terminé troisième sur 26 véhicules.

« On a été chanceux, la série nous a fourni les pièces de la voiture de démonstration. On a démonté le démonstrateur pour être capable de réparer notre voiture. L’équipe a travaillé jusqu’à 22 h le soir pour être sûre que la voiture soit en ordre pour le lendemain. C’était du bon travail puisque Nicolas a terminé troisième », commente le chef d’équipe Dominic Lavallée.

Nicolas Barrette est maintenant à mi-chemin dans sa saison, ayant disputé six des 12 courses au programme. Outre les deux du dernier week-end à Trois-Rivières, le pilote sorelois a également terminé quatrième et troisième au Circuit ICAR de Mirabel le 9 juillet, puis troisième et deuxième à Mont-Tremblant les 27 et 28 mai.

Il lui reste encore trois fins de semaine de courses, la prochaine étant encore à Mirabel le 26 août. La lutte est serrée au sommet du classement, alors que Nicolas Barrette est troisième sur un total de 29 véhicules avec 221 points. Les deux premiers pilotes ont respectivement 275 et 258 points. « Tout peut encore se jouer lors des trois derniers week-ends », résume Dominic Lavallée.

L’an dernier, à sa première saison dans la série Coupe Nissan Sentra, Nicolas Barrette avait terminé huitième sur 43 pilotes. Auparavant, il participait à la série Nissan Micra depuis 2017.

Un autre Sorelois en piste

Le Groupe RM alignait un autre pilote lors du GP3R. Stefan Gauthier, qui est notamment directeur général de Nissan Sorel-Tracy, a également bien fait lors des deux courses, terminant cinquième le samedi et sixième le dimanche.

« Il n’avait pas coursé depuis 2017, il a très bien fait! On avait loué un deuxième véhicule pour le week-end spécialement pour l’occasion », conclut M. Lavallée.