Un sentier pédestre de 1,3 km (donc 2,6 km aller-retour) est facilement accessible depuis le stationnement. La tour d’observation, d’une hauteur de 10 m est située à environ 400 m de l’entrée du sentier et propose un point d’observation panoramique grandiose.
La location de kayaks et de canots est toujours disponible, en formule demi-journée (par bloc de trois heures soit de 9 h 15 à 12 h 15 ou de 13 h 15 à 16 h 15) ou pleine journée (de 9 h 15 à 16 h 15). Pour 6 $, il est aussi possible de mettre à l’eau sa propre embarcation (une carte d’accès annuelle est disponible à 30 $) à l’un des deux quais, celui donnant accès aux îles de Sorel et l’autre directement au Marais.
Les excursions en ponton ont débuté pendant la première fin de semaine de juin. Sur réservation, deux départs sont possibles : le premier à 10 h en avant-midi et le second à 14 h en après-midi. Des sorties éducatives de groupe peuvent également être organisées. Avec l’apparition du feuillage, la période idéale des excursions nautiques ornithologiques tire à sa fin, mais sont toujours possibles pour les amateurs s’intéressant à la faune et la flore.
À l’intérieur de la Maison du marais, l’aire d’interprétation contient beaucoup d’oiseaux naturalisés et un aquarium où vivent des poissons habitant la région, aidant ainsi les gens à identifier les espèces rencontrées lors de leur parcours
Situé tout près, le rustique camping du Chenal-du-Moine (ouvert du 1er mai jusqu’à l’Action de grâce) propose un hébergement d’une tranquillité sans égal. Des terrains saisonniers et journaliers sont disponibles et incluent des rabais sur les activités de la Maison du marais et la mise à l’eau gratuite. De plus, comme le site appartient à la Société d’aménagement de la baie Lavallière (SABL), les campeurs participent et encouragent donc la poursuite de la mission du SABL qui est la protection et la valorisation des milieux humides.
Depuis 2020, la Maison du marais gagne en popularité, confie Roxanne Mandeville, la directrice générale de la SABL. Les visiteurs proviennent autant de l’extérieur (principalement de Montréal et de la Rive-Sud) pour se dépayser de la ville, que de la région soreloise pour profiter de la nature.