Le 27 janvier, le CISSSME a annoncé que les mesures déposées toucheront 120 personnes au sein de l’organisation en plus de l’abolition de postes vacants, ce qui représente 202 équivalents temps complet (ETC), soit environ 1,5 % des effectifs réguliers.

« Nous poursuivons nos efforts pour tendre vers l’équilibre budgétaire et effectuons maintenant une révision de l’organisation du travail qui implique l’abolition de postes de gestionnaires et de membres du personnel, avec titulaires, en ayant un souci de minimiser les effets sur les services aux usagers, aux résidents et à la population », explique le CISSSME via communiqué.

Cette décision est conforme aux orientations énoncées par Québec en collaboration avec Santé Québec. La cible fixée par le CISSSME est de réduire le déficit de 71 M$ au 31 mars prochain.

Depuis l’automne dernier, des actions ont été entreprises, dont un gel d’embauches administratives, le non-remplacement de postes vacants, l’abolition de surcroît temporaire de travail qui n’était plus requis, la réduction des heures supplémentaires et du recours à la main-d’œuvre indépendante ainsi que la réduction des frais de déplacement et des dépenses reportables. « Les employés concernés seront rencontrés afin de leur proposer un plan de replacement sur des postes encore vacants au sein de l’organisation ou dans le réseau de la santé et des services sociaux », informe le CISSSME.

Appelé à préciser les détails sur l’impact de ces mesures à Sorel-Tracy, le CISSSME a mentionné qu’ils seront davantage en mesure de répondre aux questions de notre journaliste au cours de la semaine du 3 février.