Le résident de Montréal a soumis son nom au parti puisqu’il souhaitait s’impliquer activement dans la campagne. Il désirait être candidat en Montérégie et il se dit heureux de pouvoir rencontrer les citoyens de Richelieu.
« Mes valeurs correspondent vraiment à celles du Parti libéral. Il faut, selon moi, un gouvernement qui est doté d’une réelle vision économique. C’est important pour notre avenir. C’est un parti qui croit beaucoup en la création de richesse », indique le candidat.
Des enjeux importants
Même s’il réside à Montréal, Anthony Sauriol assure qu’il s’est informé des principaux enjeux de la région. Il continuera d’ailleurs à sillonner les quatre coins de la circonscription à la rencontre des citoyens pour les entendre sur leurs préoccupations.
« J’étudie encore à Montréal pour être CPA, mais je me déplace souvent en Montérégie et à Sorel-Tracy. Les citoyens me parlent beaucoup d’accès aux soins de santé et de développement économique. Richelieu, c’est un très bel endroit et j’aimerais beaucoup contribuer au développement et à l’essor de cette région », indique-t-il.
D’autres enjeux ont également été soulevés lors de ses rencontres. « On m’a parlé du taux plus élevé de personnes âgées par rapport au reste de la Montérégie, ce qui entraîne plus de besoins particuliers en termes de santé. En matière d’infrastructures, on m’a parlé des ponts Maurice-Martel et Turcotte, qui ont besoin d’interventions le plus vite possible. J’ai rencontré des agriculteurs qui m’ont parlé d’avoir de meilleurs moyens de protection pour l’assurance-récolte et l’importance d’avoir des outils adéquats pour une production agricole digne de ce nom. Aussi, les entrepreneurs sont heureux de nos propositions, comme celle qui vise à réduire le fardeau fiscal administratif des PME pour qu’ils puissent prendre de l’expansion », énumère-t-il en ajoutant les familles et l’environnement à ses priorités.
Le sport comme locomotive
À un jeune âge, Anthony Sauriol souffrait d’embonpoint puisqu’il n’y avait pas beaucoup de sport à l’école. C’est un peu ce qui l’a poussé en politique, admet-il.
« J’ai fait du crossfit et j’ai aussi fait de l’haltérophilie à un haut niveau. On avait une écurie, alors je suis embarqué dans des compétitions de chevaux. Ma carrière de sportif cadre avec les priorités du parti pour ce qui a trait à l’accessibilité aux sports en milieu scolaire. Plus les saines habitudes de vie sont intégrées tôt dans le processus scolaire, plus elles ont des chances de perdurer », conclut-il.
