L’enquête policière a duré quelques mois. La Sûreté du Québec a ensuite transmis le dossier à la Direction des poursuites criminelles et pénales (DPCP), qui a jugé qu’aucun geste criminel n’avait été posé par le conducteur. Ce dernier, qui a souffert d’un malaise selon sa fille, avait défoncé une barrière de sécurité et percuté l’employé de 57 ans, qui s’affairait à sa tâche sur le traversier.
Le drame s’est produit lorsque le bateau accostait du côté de Saint-Ignace-de-Loyola. Le conducteur avait été conduit à l’hôpital après l’incident et était resté hospitalisé pendant plusieurs semaines. Au début de l’enquête, on songeait à porter des accusations contre lui pour conduite avec les capacités affaiblies causant la mort ou conduite dangereuse causant la mort.