24 août 2021 - 18:11
Bientôt un premier album pour Delarive
Par: Stéphane Martin

Le mini-album Les temps figés de Delarive sortira en septembre prochain. Photo gracieuseté

Les musiciens de Delarive en enregistrement. Photo gracieuseté

Afin de faire patienter leurs fans et de se faire connaître du grand public, le groupe Delarive laissait paraître, au début du mois d’août, une première chanson de son mini-album qui sortira en septembre.

Formé des Sorelois François Larivière, Philippe Marion, Félix-Antoine Viens et Antoine Lachance, le groupe Delarive donne dans le style musical indie rock francophone.

« On est des mordus de la création, c’est ce qui nous anime. La musique pour nous est un trip d’amis. Je joue de la guitare avec Philippe, Félix-Antoine est à la basse et au chant principal alors que l’on retrouve Antoine derrière la batterie. On s’amuse énormément dans la musique. Aujourd’hui, on tend une perche avec un premier extrait et on se dit tant mieux si les gens accrochent », indique François Larivière.

Ainsi, la chanson « Comme un brave » se retrouve sur différentes plateformes dont la promotion est assurée par l’agence Artifice. « C’est une chanson qui parle de faire face à l’adversité. Quand tu fais face à une situation et tu es comme obligé de la vivre. Quand tu te dis que tu dois foncer à fond, que tu es obligé de te lever les poings et que tu choisis de te défendre. »

La sortie du mini-album Les temps figés est prévue pour le 3 septembre prochain et contiendra sept chansons entièrement francophones. « On a toujours fait en français, c’est la langue qu’on utilise tous les jours. C’est la culture québécoise, c’est une langue qu’on adore évidemment. Ça coule peut-être plus dans les oreilles en anglais, mais on travaille en français. »

Les membres du groupe n’ont pas l’intention de renier leurs racines soreloises. « On s’appelle Delarive puisque Philippe et Félix-Antoine habitaient sur la rue de la Rive à Sainte-Anne. Nos amis y avaient également un local de pratique sur cette rue. C’est la rue de notre enfance, une rue qu’on a faite à vélo et parcourue de long en large. Cela représente aussi l’accès à l’eau. L’eau, c’est à mon avis ce qu’il y a de plus beau dans notre région », de conclure François Larivière.

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