L’INESSS déposera son rapport au ministre au courant du mois de mars.
Plusieurs facteurs doivent être pris en considération avant de mettre en place un nouvel appareil, notamment les normes de qualité nécessaires pour réaliser l’EBUS de manière sécuritaire (volumes d’activités, formation, etc.), l’impact de l’ouverture d’un nouveau centre sur les centres existants, la cohérence avec le réseau de cancérologie pulmonaire et les établissements désignés pour faire la chirurgie thoracique et les coûts d’implantation et récurrents.
Actuellement, 20 installations situées dans 17 établissements offrent le service au Québec, soit tous les centres désignés en cancérologie pulmonaire, à l’exception de l’Hôpital régional de Rimouski et de l’Hôpital d’Amos.
TC MEDIA
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