16 novembre 2023 - 11:20
Deux bourses agricoles de 5000 $ remises à L’Effet Bœuf et aux Serres de la Vallière
Par : Jean-Philippe Morin

Roméo, mascotte de L’Effet Bœuf, Jean-Bernard Émond, député de Richelieu, Pierre-Olivier Plasse, Josiane Clermont et Alain Beaudin, commissaire agricole. Photo gracieuseté

Oscar Cuellar, de Richardson, Magalie Rajotte, des Serres de la Vallière, Alain Beaudin, commissaire agricole et Yan Bussières, président de l’UPA Richelieu-Yamaska. Photo gracieuseté

Deux bourses de 5000 $ chacune ont été remises à des agriculteurs de la région. Pierre-Olivier Plasse et Josiane Clermont, de L’Effet Bœuf a reçu la Bourse du député de Richelieu, tandis que Magalie Rajotte, des Serres de la Vallière, a reçu la Bourse Innovation de la Chambre de développement agricole de Richelieu.

D’abord, L’Effet Bœuf, de Saint-Robert, a mis la main sur la Bourse du député de Richelieu : relève agricole, remise par Jean-Bernard Émond. La somme de 5000 $ servira à soutenir l’évolution de leur entreprise.

« Je suis honoré de soutenir notre communauté agricole dynamique en reconnaissant l’engagement et l’innovation exceptionnels de nos jeunes agriculteurs pour une deuxième année consécutive. Félicitations à Pierre-Olivier et Josiane, leur entreprise L’Effet Bœuf incarne parfaitement le futur prometteur de notre secteur agricole. C’est un honneur pour moi de contribuer à l’épanouissement de notre relève, et je suis convaincu que notre nouvel ambassadeur représentera fièrement les valeurs et la persévérance de notre communauté agricole », déclare Jean-Bernard Émond, député de Richelieu.

De plus, Magalie Rajotte, des Serres de la Vallière situées à Sorel-Tracy, a reçu la Bourse Innovation, remise par la Chambre de développement agricole de Richelieu, en collaboration avec Richardson International et le Syndicat de base de l’UPA de Richelieu-Yamaska.

Cette bourse de 5000 $ permettra à la jeune entrepreneure de lui donner les moyens et les outils pour se qualifier et se motiver, tout en préservant une agriculture à dimension humaine qui se préoccupe des besoins de la nouvelle génération et des générations à venir.

« Dans sa présentation, cette jeune femme a compris qu’être différent n’est ni une bonne ni une mauvaise chose. C’est seulement et simplement être suffisamment courageux pour être elle-même », insiste le commissaire agricole Alain Beaudin.

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