Une firme d’architectes avait évalué le prix d’un tel projet à plus de 2,3 M$ et le programme gouvernemental auquel les municipalités auraient eu droit ne couvrait que 65 % du coût des travaux.
« Même en calculant une contribution gouvernementale à 80 % (dans le cas où d’autres ministères que celui des Affaires municipales et de l’Habitation acceptaient de participer au projet), la contribution des deux municipalités s’élevait à au moins 650 000 $, ce qui constitue un fardeau beaucoup trop élevé pour les 1000 citoyens des deux municipalités », peut-on lire dans un communiqué émis par les deux villes.
Les conseils municipaux des deux municipalités ont tout de même reconnu l’importance patrimoniale de cette église, la place qu’elle occupe dans l’histoire de Saint-Aimé et de Massueville et dans le cœur des citoyens.
Les membres des deux conseils municipaux ont également reconnu que cette décision ne permettait pas de trouver une solution rapide quant à l’avenir de cet édifice important, sans toutefois, préciser ce qui en adviendra.