Au cours de la fin de semaine du 24 et 25 janvier, les Rebelles, en volleyball féminin D2, recevaient quatre équipes de leur ligue à l’intérieur d’un tournoi. Si elles ont vaincu le Cégep de Shawinigan par deux manches à une, et par deux manches à zéro contre le Collège Laflèche, elles ont dû s’incliner contre Victoriaville et la puissante équipe de Trois-Rivières.
« Nous avons réussi à maintenir notre cinquième position au classement. Notre équipe est solide avec six finissantes dans la formation », mentionne fièrement Myriam Shea-Blais, conseillère à la vie étudiante sportive au Cégep de Sorel-Tracy.
Cette dernière précise que la ligue où évoluent les Rebelles en volleyball féminin est composée de 10 équipes. « La réalité, c’est que l’on compétitionne contre de gros cégeps », ajoute Myriam Shea-Blais, qui est à la fois confiante et réaliste que les filles se classent pour les séries puisque que les sept premières équipes peuvent y prendre part et, une fois en séries, tout peut arriver.
Au volleyball masculin, l’équipe occupe également le cinquième rang sur huit équipes et les gars vivent la même réalité qui est d’affronter de puissantes équipes. « On essaie toujours d’être dans le peloton », assure la conseillère à la vie étudiante sportive.
Dix équipes au total
Les Rebelles, ce sont, au total, une dizaine d’équipes sportives. En plus du volleyball, on retrouve des Rebelles dans différentes disciplines tels que le badminton mixte et le cross-country mixte. Récemment se déroulait un tournoi en simple à Drummondville et Matty Desmarais a fait les frais de la finale en D2. On se souviendra que, toujours dans l’équipe de badminton, Gabrielle Boulay s’était classée pour le championnat provincial. Et en cross-country, Laurianne Trudel a atteint ses standards pour participer à des compétitions provinciales. En natation, les athlètes sorelois ont quatre compétions par année pour atteindre les standards provinciaux.
Et le basketball? « Depuis deux ans, on n’a plus de basketball au Cégep. Le recrutement est assez exigeant et comme le niveau D2 est devenu vraiment fort… Nous pourrions évoluer dans le D3, mais cette catégorie n’existe pas dans notre section. Il faudrait, autrement, aller jouer à Québec », explique Myriam Shea-Blais. Elle ne perd toutefois pas espoir de voir revenir le Cégep en basket puisqu’il y a beaucoup de talent et de potentiel chez les Polypus qu’elle surveille d’ailleurs étroitement.
Quant au équipes masculines et féminines de soccer intérieur, les tournois débutent en février. Les Rebelles, dans ce sport, ont déjà plusieurs bannières accrochées au plafond. « Nous avons beaucoup d’espoir cette année pour nos équipes de soccer », souhaite-t-elle.
« En Esports/League of Legends, notre équipe qui évolue sur le jeu League of Legends est composée de quatre garçons et d’une fille et se classe actuellement au quatrième rang de la section D3-A de la Ligue collégiale de sports électroniques (LCSE). Elle reprendra les matchs de la ligue le 10 février prochain », de conclure Myriam Shea-Blais.
