:« Souhaitons que les politiciens fédéraux adaptent les programmes à la réalité de notre milieu. Le Fonds national de conservation des milieux humides pourrait être très utile pour mieux exploiter un site tel que celui de la baie Lavallière », affirme-t-il.
La problématique touche 13 producteurs agricoles et près de 145 producteurs sont reliés au bassin versant. « C’est un projet dispendieux. Nous avons besoin d’expertise et d’un coup de pouce politique », ajoute-t-il.
Le dossier entourant l’accord de libre-échange transpacifique et de la gestion de l’offre fait aussi partie des préoccupations des agriculteurs de la région. « Les trois candidats connus ont déjà dit qu’ils étaient favorables à la gestion de l’offre. On veut leur demander ce qu’ils comptent faire pour nous. »
L’UPA organise actuellement un débat dédié aux sujets touchant l’agriculture. Bien que la date ne soit pas encore définie totalement, il devrait avoir lieu au début du mois de septembre.