Les membres du conseil municipal ont voté cette résolution lors de la dernière assemblée publique du 6 février. La Ville souhaite évaluer les possibilités de procéder à l’acquisition ou à l’établissement d’une servitude de conservation sur des lots se trouvant sur la route Marie-Victorin.
Elle a mandaté Nature-Action Québec. L’organisme connaît le dossier parce qu’il avait traité le même en 2009 et 2011. Ces précédentes démarches ont permis l’acquisition des terrains constituant actuellement la zone de conservation du Parc régional des Grèves.
Nature-Action Québec s’occupera de faire les démarches auprès des propriétaires des terrains situés du 10244 au 10248, route Marie-Victorin. Pour la mairesse de Contrecoeur, Maud Allaire, ce projet servira à donner plus d’espace aux citoyens pour profiter de la nature.
« Nous sommes actuellement en négociation pour deux grandes terres. Le Parc régional des Grèves compte déjà 70 hectares et nous voulons encore davantage protéger de zones et les redonner à la communauté. C’est une autre belle réalisation pour améliorer le milieu urbain en proposant des endroits où se reposer et profiter de la nature », souligne-t-elle.
Un legs à la Ville
Lors du même conseil, la Ville a autorisé la Corporation des fêtes du 350e anniversaire de Contrecœur pour l’amélioration des sentiers pédestres dans le parc de conservation Barbe-Denys-De La Trinité. L’organisme fera faire un plan d’aménagement dans les prochains mois afin de laisser ce legs à la Ville de Contrecœur.
La Corporation des fêtes souhaite aussi construire un four à pain traditionnel au parc du Moulin Chaput, situé dans sur la route 132, en collaboration avec l’organisme Culture C dans le but d’animer le lieu historique.