« Après des années de travail, notamment par notre porte-parole en matière d’Agriculture, d’Agroalimentaire et de Gestion de l’offre, Yves Perron, nous y sommes enfin : la protection intégrale de la gestion de l’offre est maintenant une réalité incontournable et inscrite dans la loi. Dans le contexte actuel de conflit commercial, et avec des négociations à venir, il était essentiel qu’on garantisse que ce pilier propre à notre économie soit pleinement préservé. L’agriculture sous régime de gestion de l’offre au Québec – lait, œufs et volaille – ce sont quelque 6500 fermes familiales qui fournissent 116 000 emplois, le tout pour fournir des produits savoureux et de qualité sur nos tables. L’agriculture québécoise est un fleuron qu’il nous fallait protéger : nous en avions fait la promesse en campagne électorale et c’est maintenant chose faite », a souligné le député de Bécancour–Nicolet–Saurel–Alnôbak, Louis Plamondon.
« L’aboutissement de ce projet de loi est le résultat d’un travail de longue haleine mené par le Bloc québécois aux côtés des entrepreneurs agricoles du Québec. Nos agriculteurs travaillent fort, souvent sept jours sur sept, dans des conditions difficiles pour fournir aux Québécois des produits de qualité tout en assurant la rentabilité de leur entreprise. Leur activité, depuis toujours un secteur clé de notre économie et de notre culture, est aujourd’hui à un point critique. La promulgation de notre projet de loi constitue, en ce sens, une victoire historique non seulement pour notre agriculture et nos régions mais aussi bel et bien pour le Québec. Je tiens à remercier toutes celles et tous ceux qui ont contribué à ce qu’enfin la protection intégrale de la gestion de l’offre devienne une loi. Les fermes québécoises font partie de notre histoire. Par cette adoption, nous faisons en sorte qu’elles fassent partie de notre avenir », a conclu le député Louis Plamondon.