Même si le projet de réfection du pont ne figure pas parmi les investissements annoncés, Mme Guilbault a indiqué que « les choses cheminent bien ».

« On est conscients que les gens sont impatients de voir le pont se faire réparer. […] La solution de conception a été retenue pour le pont Turcotte. La bonne nouvelle, c’est que c’est une solution qui va générer le moins d’entraves possible. On passe à l’étape des plans et devis. […] Le mandataire est déjà retenu, c’est le même qui a fait la conception. Des étapes sont franchies et la réfection va se faire, mais c’est pour ça qu’elle ne figure pas à la programmation [2023-2025 annoncée le 4 avril] », a dévoilé Mme Guilbault.

Il est toutefois difficile de se prononcer sur un échéancier, prévient-elle. « C’est hasardeux de s’avancer en ce moment puisqu’on est à l’étape des plans et devis, mais normalement, on devrait pouvoir franchir une autre étape dans le prochain mandat [d’ici 2026] », a-t-elle mentionné.

De son côté, le député Jean-Bernard Émond a assuré que les travaux prévus sur le pont Maurice-Martel n’auront pas lieu en même temps que sur le pont Turcotte.

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