« Les demandes varient d’une année à l’autre. Des fois, il y a de plus gros projets certaines années et d’autres années, non », explique le maire de Sorel-Tracy, Serge Péloquin.

Qu’est-ce que le projet peut apporter à notre milieu? Quel est l’impact positif? Telles sont quelques-unes des questions que le conseil municipal se pose afin de déterminer la façon dont les subventions seront remises.

« Si le dossier est bien présenté, s’il y a une bonne gouvernance et une bonne rigueur administrative, il n’y a pas de raison pour ne pas accorder d’argent », ajoute-t-il.

Afin d’assurer une uniformité, le maire travaille à l’élaboration d’un modèle de gouvernance. « Tous les organismes ont des modèles différents. On souhaite soumettre un modèle pour les organismes accrédités qui sera aussi disponible aux autres municipalités », dit-il.

Des champs d’activité

Alors que certains secteurs d’activité ont connu une hausse de leurs subventions, d’autres ont connu une baisse entre 2013 et 2014. Le sport est le champ d’activité le moins avantagé par les subventions municipales, mais est le seul dont le montant a augmenté entre 2013 et 2014.

« Toute la partie des services, des temps de glace, ainsi que l’entretien des plateaux sportifs n’est pas comptabilisée dans ces chèques. C’est la plus grosse partie du budget annuel », assure-t-il.

Selon le rapport des états financiers 2014, la Ville a investi 10,9 M$ pour les loisirs, la culture et le sport.