9 octobre 2025 - 15:31
L’Ardoise récolte 4000 $ grâce au Lecturothon
Par : Stéphane Fortier

L’équipe du journal Les 2 Rives, présente lors du Lecturothon, était composée de Linda Bourdua, représentante publicitaire, Stéphane Fortier, journaliste et Marcel Rainville, directeur général. Ils étaient accompagnés de Diane Dumas, directrice du Cégep de Sorel-Tracy. Photo gracieuseté

Le Lecturothon, mis sur pied par l’organisme L’Ardoise et propulsé par deux enseignants de français du Cégep de Sorel-Tracy, Marie-Pierre Genest et Marc-André Boisvert, a de nouveau connu un franc succès, le 9 octobre dernier, alors que pas moins de neuf partenaires (commerçants, entreprises ou organismes) ont défilé tour à tour dans un véritable marathon de lecture.

Il s’agissait de la septième édition de cet événement devenu une tradition incontournable à Sorel-Tracy. Organisé dans le cadre d’Octobre, le mois des mots, il se déroulait dans le hall d’entrée du Cégep de Sorel-Tracy.

« Sous sa forme actuelle, avec des partenaires, on parle toutefois de la quatrième édition, précise Alexandra Deplanches, directrice générale de L’Ardoise. Chaque partenaire pouvait offrir 250 $ pour un bloc de lecture d’une demi-heure ou 500 $ pour un bloc d’une heure. Au total, nous avons pu récolter 4000 $ dans le cadre de ce Lecturothon », dévoile Mme Desplanches.

Auparavant, le Lecturothon, qui avait pris naissance en 2010, laissait les lecteurs ne lire qu’un seul et même livre pendant toute la durée de l’événement. Maintenant, chaque participant peut lire un texte de son choix, ou encore l’organisme peut leur faire des suggestions de lecture.

Cette année, outre le Journal Les 2 Rives, Caisse Desjardins Pierre-De Saurel, Développement économique Pierre-De Saurel (DÉPS), le Centre de transfert technologique en écologie industrielle (CTTÉI), la Librairie La Cargaison, les députés fédéral et provincial Louis Plamondon et Jean-Bernard Émond, Photo repensée et la MRC de Pierre-De Saurel participaient au Lecturothon.

Rappelons que L’Ardoise, fondée en 1996, a fait de l’alphabétisation populaire un moyen de transformation sociale. Par le biais d’activités et de projets basés sur la réalité et les besoins des personnes peu alphabétisées, son approche lui permet de reprendre du pouvoir sur leur vie et favorise la participation citoyenne.

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