Son œuvre, intitulée Mata (mère en langue indienne) et peinte en 2023, a su émouvoir les jurés de ce concours et c’est le 2 août que les noms des gagnants seront connus. « La peinture humanitaire a toujours été mon créneau et la condition des femmes et des enfants me touchent particulièrement, précise Flora White, d’entrée de jeu. Et ce tableau, en particulier, se distingue par la texture et les détails de l’arrière-plan qui représentent une tapisserie. »

C’est après avoir exposé collectivement durant deux mois dans la salle du conseil de la MRC de Pierre-De Saurel ce printemps, puis au Centre culturel Morrin de Québec et plus récemment à la Galerie Ambigu de Montréal, que Flora White a appris qu’elle s’était classée comme finaliste dans cette compétition.

Du même coup, Flora White a mérité une place au sein de l’exposition collective des finalistes au prestigieux Musée et centre d’art de Montréal. Le vernissage marquera le lancement de cette exposition le 19 juillet prochain, mais l’artiste peintre aura un horaire chargé au cours des prochaines semaines.

« En même temps se tiendra le vernissage d’une exposition collective à laquelle je prendrai part à la Galerie Lenoir dans le Vieux-Montréal qui se poursuivra jusqu’au 16 août », annonce Mme White.

Puis, dès le 3 août, cette dernière prendra part pour une septième année consécutive à l’événement Reg’Art sur le fleuve à Sorel-Tracy. « Cela a été une grosse saison pour moi qui venais tout juste de voir deux autres de mes œuvres se classer en cinquième place dans deux catégories distinctes lors d’une différente compétition internationale aux États-Unis avec 58 pays participants et pas moins de 20 galeristes internationaux à titre de juges », nous dit fièrement Flora White.

À la fin du mois d’août, la Sainte-Annoise quittera pour la Gaspésie. accompagnée d’une autre artiste de la MRC de Pierre-De Saurel, la pastelliste Lucie Durand, afin de participer à la quatrième édition du Symposium Clorid’Art à Cloridorme.