L’enjeu est de conserver la confiance des gens d’affaires et de susciter l’activité entrepreneuriale dans la région, lit-on dans un communiqué, le 8 février, signé par son président Laurent Cournoyer et son directeur général, Sylvain Dupuis.
La Chambre a déjà partagé sa préoccupation avec la Ville le 31 janvier dernier, « en proposant de travailler conjointement au développement économique de Sorel-Tracy, tout en conservant son indépendance d’intervention dans le milieu », y lit-on.
Des résultats clairs
L’étude de la FCEI révèle que Sorel-Tracy recule de 43 places par rapport à 2016 pour se positionner au 108e rang des 121 villes entrepreneuriales canadiennes de taille moyenne où il fait bon de démarrer ou faire croître une entreprise.
Des données, recueillies par la Chambre locale auprès d’une centaine de ses 450 membres lors d’un sondage non scientifique, corroborent ceux publiés récemment par la FCEI pour ce qui est du niveau de confiance des gens d’affaires dans la région, dit M. Cournoyer.
Ainsi la Chambre manifeste-t-elle sa confiance dans la FCEI qui réunit plus de 109 000 membres propriétaires de PME au Canada. D’autant que la Fédération des Chambres de commerce du Québec (FCCQ) dont celle de Sorel-Tracy sont mues par ce même intérêt de représenter les intérêts des entreprises dans la lutte en faveur de l’équité fiscale, d’une législation du travail raisonnable, de l’allègement du fardeau réglementaire et du développement économique et social.