« J’ai hâte de rencontrer des gens qui ont la même passion que moi, raconte le Sorelois. J’y vais avec mon fils, qui joue dans le film. On va participer à des tables rondes, j’ai très hâte de parler de mon expérience comme cinéaste, mais aussi comme administrateur de salle de cinéma. »
Comme le court métrage de 10 minutes ne comporte aucune réplique, il devenait plus facile de passer dans différents festivals à travers le monde, explique Guillaume Venne. Son film se titre d’ailleurs Dreaming of my life à ce festival.
« Mon court métrage est sans parole parce que je voulais que les images parlent. Il n’y a pas de répliques, mais ça coule bien. On remarque les émotions dans l’histoire et en même temps, ça peut passer dans tous les festivals! », se réjouit-il.
Le film raconte l’histoire d’un jeune homme victime d’intimidation. M. Venne travaille présentement au long métrage de ce film.
« On vient de faire trois semaines de tournage en juin dans la région. Sur les 145 scènes, on en a tourné 85. J’aime mettre de l’avant les images, mais les dialogues seront présents aussi dans ce long métrage », souligne-t-il.
Le film complet raconte l’histoire de Philippe, un homme trentenaire et père de famille, victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC). Le mini-film de 10 minutes montrera son enfance quand il était victime d’intimidation.