« À l’époque, je me souviens que lors des rencontres économiques, il y avait deux ou trois tables pour le secteur métallurgie, et deux ou trois agriculteurs dans la salle. Je me suis toujours battu pour qu’on reconnaisse notre place dans le milieu. On représente un secteur névralgique dans notre économie », avance-t-il.
Heureusement, la situation a changé, se réjouit-il. « Aujourd’hui, au lieu de deux agriculteurs, on retrouve deux tables d’agriculteurs! Juste pour la nouvelle structure de l’organisme Développement économique Pierre-De Saurel, on a établi comme critère d’avoir deux agriculteurs sur les sept administrateurs. C’est signe que les choses changent », conclut Alain Beaudin.