Le navire, bâti en 2009, appartient à un armateur canadien, McKeil Marine et bat pavillon canadien, a expliqué la directrice de la Société de développement économique de Sorel-Tracy, Josée Plamondon.
Il a besoin de réparations qui seront effectuées au cours de l’hiver, essentiellement par des entreprises de la région. Ce qui générera des retombées économiques dans la région, fait-elle remarquer, sans compter les frais de quaiage versés à la Ville.
« On prévoit qu’il pourra quitter en mars ou avril, », dit-elle.
Aucun équipage ne vit à bord du navire si ce n’est une personne qui en assure la sécurité.
Ainsi les Sorelois n’ont rien à craindre, conclut-elle. Le bateau n’est aucunement comparable au Phoenix Sun de triste mémoire, qui battait pavillon complaisant et ne pouvait quitter les lieux sans réparations majeures. La Société de développement économique a aussi appris de cette expérience malheureuse, a-t-elle conclu.