Ils souhaitent mettre de la pression sur le gouvernement pour signer une convention collective, la précédente étant échue depuis avril 2020.
Les paramédics, s’étant déplacés avec entre autres des pancartes, des fusées éclairantes et des trompettes, n’ont pu parler avec le député alors que les bureaux semblaient fermés.
Le vice-président du syndicat local, Bruno Ostiguy, est confiant que leur message sera entendu et espère avoir une discussion avec le député ou que le gouvernement accepte de signer une convention collective décente.
Vers 11 h 30, ils ont quitté la rue du Roi pour se promener dans les rues du centre-ville et terminer leur route à la caserne des ambulances sur l’ avenue Hôtel-Dieu.