Le nombre d’inscriptions pour la saison 2025-2026 est relativement le même que les années précédentes, aux dires du président de l’Association de hockey mineur du Bas-Richelieu (AHMBR), Sylvain Lacasse.
« Nos 550 joueurs sont répartis dans sept catégories, de M7 à M21. En plus du hockey récréatif, nous avons les catégories élites à partir de M11 qui ont débuté la saison le 2 septembre », indique Sylvain Lacasse. Le 13 septembre, le hockey récréatif démarre.
Les équipes de l’AHMBR évolueront au Colisée Cardin, bien sûr, mais aussi à l’aréna du Centre récréatif Aussant. « Et nous devrons acheter des heures de glace au Centre sportif régional de Contrecœur », précise Sylvain Lacasse.
Défis
Lorsqu’une saison débute, il y a toujours des objectifs à atteindre et il se dresse toujours des défis à relever. « Le plus gros défi que l’on a en ce début de saison, c’est de composer avec les rénovations du Colisée Cardin. Nous espérions commencer la saison sans que les joueurs en soient pénalisés à cause des retards dans les travaux. Comme toutes rénovations d’un bâtiment qui date des années 1950, il y a parfois des surprises. La glace, ça va. C’est surtout au niveau des chambres, le problème. On a accès à deux vestiaires au lieu de cinq. Il s’agit d’organiser une logistique », indique le président.
Quant au nombre requis de bénévoles ou d’arbitres, cela peut aller, mais il est certain que l’organisation aimerait en avoir plus. « En termes d’arbitres, notre problème, c’est d’en avoir qui sont assez vieux pour arbitrer les catégories des joueurs plus âgés. On ne peut envoyer un jeune de 14 ou 15 ans arbitrer un match de M18. Nous en avons suffisamment pour les plus jeunes catégories. C’est sûr qu’on aimerait en avoir plus. Richard Sévigny a arbitré plus de 300 matchs la saison dernière, de même que Rémi Lemoine. S’ils ne sont pas là, qui va le faire? Et pour les matchs de dimanche soir, il est plus difficile de trouver des jeunes à cause de l’école, le lendemain », expose-t-il.
Sylvain Lacasse ne souffre pas d’une pénurie de bénévoles et en plus, il en est très content, particulièrement ceux qui l’accompagnent sur le conseil d’administration. « Je suis choyé. Je suis entouré des gens dévoués, des bénévoles en or », dira-t-il à ce sujet.
Justement, un autre défi consiste en la rétention, autant du côté des joueurs, des bénévoles que des arbitres. « C’est le nerf de la guerre. La vie va vite, il y a des stimulations, des tentations ailleurs. Il nous faut garder un environnement adéquat. Heureusement, présentement on réussit à combler nos besoins en matière bénévoles », de conclure Sylvain Lacasse.
