Le 19 février, il avait plaidé coupable d’avoir produit de la pornographie juvénile entre le 28 octobre 2015 et le 15 février 2017. À sa sentence s’ajoute une probation de trois ans.
Il sera enregistré dans le registre de délinquants sexuels pour une période de 20 ans. Il lui sera interdit de se retrouver dans un lieu public où il est susceptible d’y retrouver des enfants ou de se retrouver en autorité auprès d’enfants pendant sa probation.
M. Lamer faisait face à deux autres chefs d’accusation qui ont été sujets à un arrêt conditionnel. Selon ces accusations, l’accusé aurait conclu un arrangement par un moyen de télécommunication avec un enfant de moins de 16 ans, qui se révélait être un enquêteur, afin d’obtenir des contacts sexuels.
L’accusé a été arrêté en février 2017, mais avait été libéré en attendant la suite des procédures judiciaires.