L’homme, qu’on ne peut identifier afin qu’on ne puisse pas reconnaître sa fille, fait face à six chefs d’accusation, soit inceste, agression sexuelle et attouchements sexuels. Les gestes auraient été posés entre janvier et octobre 2022 ainsi qu’en janvier 2023.
On a également volontairement omis d’inscrire le nom de la municipalité où l’accusé réside ainsi que l’âge de la victime pour ne pas permettre aux lecteurs de les identifier.
Le dossier de l’accusé sera de retour devant la Cour le 6 novembre prochain.