Peu de détails émanent de cette affaire pour l’instant, mais les chefs d’accusation portent sur la possession de pornographie juvénile et y avoir accédé pendant sept ans, soit du 6 juillet 2017 jusqu’à son arrestation. Les chefs les plus graves, soit production et transmission de pornographie juvénile, datent du 1er octobre 2022 au 31 décembre 2023.
Martial Farly a été remis en liberté sous plusieurs conditions sévères, comme ne pas se trouver dans un parc, une bibliothèque, un aréna ou dans un endroit où on pourrait retrouver des mineurs, ne pas utiliser Internet et ne pas utiliser un logiciel de photographie permettant la manipulation d’images ou de vidéos.
Il sera de retour devant la Cour le 28 octobre prochain pour la suite des procédures.