Rapidement, l’alerte générale a été déclenchée. En tout, 35 pompiers, dont certains en couverture caserne, ont travaillé d’arrache-pied pour limiter les dégâts. Des pompiers de la Régie intermunicipale Louis-Aimé-Massue et des services incendie de Saint-Ours et Saint-Roch-de-Richelieu sont venus en entraide.
« L’incendie était d’une rare intensité, rapporte Roger Lamanque, directeur du SPIUST. Le côté gauche de la maison brulait intensément. C’était très agressif. »
La maison a subi de lourds dommages. Heureusement, personne n’a été blessé.
Le jeudi 20 novembre, au matin, des pompiers étaient toujours sur les lieux pour identifier la cause de l’incendie.












