À l’arrivée des sapeurs, de la fumée sortait déjà du bâtiment et de l’appartement incendié, qui se situait au sous-sol. Les pompiers ont alors évacué plusieurs citoyens, dont une personne avec la grande échelle puisqu’elle était sur son balcon au troisième étage.
Une vingtaine de pompiers ont participé à l’intervention. Trois personnes ont été prises en charge par la Croix-Rouge.
Les dégâts sont limités seulement au logement incendié, qui est une perte totale. Les locataires des sept autres logements ont pu reprendre possession de leur appartement un peu plus tard dans la nuit.
La cause a été considérée comme indéterminée par les pompiers, qui ont transféré l’enquête à la Sûreté du Québec. La sergente Ingrid Asselin a confirmé au journal que l’incendie n’était pas criminel.
« L’intervention rapide des pompiers a permis d’éviter le pire, mais dans plusieurs logements, il n’y avait pas d’avertisseur de fumée. Nous tenons à vous rappeler que l’avertisseur de fumée sauve des vies », rappelle Roger Lamanque.