Aujourd’hui médecin à Montréal et âgée de 32 ans, Mme Millette dénonce « […] des abus psychologiques assimilables à des traitements inhumains et dégradants, voire à des actes de tortures » en plus de « fessées brutales » de son père, lit-on dans la poursuite.
Selon l’article du quotidien, Mme Millette a été mise à la porte de chez elle à 16 ans et les séquelles de ces corrections sont encore présentes. Elle aurait développé un trouble anxieux, un problème d’estime de soi et des insomnies.
Les parents ont tenté de faire invalider le recours, sans succès. Contactés par le Journal de Montréal, Michel et Valérie Millette n’ont pas souhaité commenter le dossier.